Résidence d’auteur (ou écriture de textes)

Résidence d’auteure 2019/2020
Depuis 2012 et le chantier artistique : “ les Brigades de lecture prennent le fleuve ”, PaQ’la Lune invite des auteurs ligériens à participer à différents projets. Une bourse d’écriture est financée grâce au soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et de la Région des Pays de la Loire. Nous avons donc lancé un appel à candidature, diffusé par Mobilis, pôle régional du livre. Stéphanie Aten  Stéphanie Aten, auteure habitant à Saumur a été retenue pour la résidence 2019/2020. La bourse d’écriture attribuée à Stéphanie Aten comportait 2 volets :
  • l’écriture de nouvelles
  • la participation à des projets d’éducation artistique et culturelle avec les établissements
Les nouvelles 2020 Stéphanie Aten a écrit trois nouvelles à et sur Longué-Jumelles. En résidence d’auteur, la saumuroise a rencontré les lavandières et arpenté les sentiers longuéens afin de s’inspirer du lieu pour écrire. Autour des Lavoirs Trois écrits ont vu le jour:
  • La Voix dans le Ruisseau
  • Monstrueuse invention
  • Rumeur et vérité
Ces nouvelles sont également disponibles sur son site internet. Cette résidence a également été l’occasion d’aller à la rencontre des établissements scolaires  où Stéphanie a multiplié rencontres d’auteur et ateliers d’écriture. La crise sanitaire COVID-19 a bousculé les calendriers et si Stéphanie a pu poursuivre son travail d’écriture personnelle, une partie des interventions en milieu scolaire a été annulée ou reportée. En juin 2020, à l’issue du 1er confinement, les artistes ont retrouvé les élèves lors d’un temps fort organisé juste avant la fin de l’année scolaire.

Journal de résidence

JANVIER, LA PROMESSE D’UNE BELLE AVENTURE
Étant saumuroise de naissance et de résidence, je connaissais déjà Longué-Jumelles. À tout le moins, en surface. Je ne m’étais jamais vraiment immergée dans le courant de ses ruisseaux, dans le passé de ses lavoirs ou l’histoire de son moulin. Mais cette résidence allait m’en donner l’occasion. L’objectif de PaQ’lalune était aussi clair que les soirs de lumière sélénite : mettre en valeur le patrimoine longuéen en élaborant des animations créatives et ludiques pour petits et grands, avant, autour et au-delà de la traditionnelle fête annuelle des lavoirs. Ma mission s’articulait en trois points : ✓ diriger des ateliers d’écriture dans les écoles et les collèges, pour susciter la curiosité et l’intérêt des plus jeunes, ✓ concevoir une animation destinée aux adultes (l’idée d’une « boîte à cancans » a rapidement germé), ✓ rédiger un texte personnel autour du patrimoine de la commune. Autour des Lavoirs La première session de résidence a surtout consisté en rencontres, échanges, découvertes, visites. J’ai eu le plaisir de papoter avec des lavandières, qui ont connu cette époque pas si lointaine où leurs mères lavaient le linge dans l’eau du Lathan, été comme hiver, par mauvais comme par beau temps. Le pôle culture et patrimoine de la commune m’a fait faire le tour du site et raconté son histoire. Une documentation approfondie m’a été transmise. J’ai fait connaissance avec toute l’équipe de Paq’laLune et le corps professoral participant à l’opération. Des idées d’ateliers d’écriture me sont venues assez rapidement. Maman d’un adolescent de quatorze ans, je ne sais que trop bien à quel point la jeune génération est happée par les écrans, peine à lire, à mobiliser son imaginaire, cultiver sa vie intérieure. Je souhaitais donc lui proposer un concept ludique et enthousiasmant, qui lui parle et l’inspire. Avec elle, la littérature de genre fonctionne à merveille : fantastique, anticipation, SF. Tout y est permis, tout y est possible, l’aspiration puissante de liberté qui l’anime peut alors s’ébattre pleinement, ébouriffer les codes et débrider les règles. Mais il me fallait prendre en considération les thématiques abordées par PaQ’la Lune : l’importance du patrimoine, la préciosité de l’eau, le réseau social que constituaient les lavoirs… Ateliers d'écriture J’ai donc proposé aux écoles primaires, un jeu de relai : sur la base d’une amorce, de petits groupes d’enfants devaient se passer le texte et poursuivre l’écriture de l’histoire. Le postulat était le suivant : « Dans le ruisseau qui s’écoule devant les lavoirs de Longué, trois amis découvrent que l’eau est frelatée par un étrange liquide vert. Ils doivent identifier l’origine de cette pollution et la stopper. » Pour les collèges, il avait d’abord été question d’aborder le sujet des « cancans », des rumeurs, voire du patois utilisé par les lavandières, mais je subodorais que les adolescents n’y trouveraient pas leur compte. Je craignais même que l’exercice n’exacerbe les problèmes de harcèlement et d’addiction aux réseaux sociaux plus qu’il ne les résolve. Soutenue par les professeures, je leur ai proposé de faire travailler les collégiens par petits groupes sur l’élaboration collective, mais dirigée, d’une histoire ancrée dans l’anticipation. « En l’an 2100, Longué est en situation de survie. Le monde a changé : la civilisation s’est effondrée, il n’y a plus ni eau courante ni électricité. Les Longuéens sont répartis en clans : certains se sont rassemblés dans l’enceinte de la ville, cerclée de remparts ; les autres sont restés à l’extérieur. Les premiers doivent régulièrement sortir s’approvisionner en eau, mais les seconds veulent garder ce trésor de plus en plus rare pour eux ». Un cours théorique sur les techniques narratives devait accompagner les sessions. Face à l’enthousiasme des institutrices comme des professeures, je n’avais qu’une hâte : commencer ! La semaine s’est soldée par une rencontre avec le public lors de la Nuit de la Lecture. Dans la commune, la tradition veut que cette « nuit » soit organisée chez l’habitant. C’est donc chez Madame Deniau, dans une salle décorée grâce à son matériel de lavandière, ses vieux vêtements et ses grands draps d’étoffe épaisse, que nous avons expliqué nos ambitions. Des textes autour des lavoirs ont été lus, aux plus jeunes comme aux plus âgés, de beaux éclats de rire ont accompagné les souvenirs de l’ancienne génération… le coup d’envoi était lancé et promettait beaucoup de chaleur humaine et d’enthousiasme. De nombreuses idées batifolaient déjà dans mon esprit… Lecture chez l'habitant Mais nous ignorions alors que, deux mois plus tard, un sas temporel aussi bouleversant qu’inattendu remettrait totalement en question nos projets.

MARS, SAS TEMPOREL IMPRÉVU

Pendant un moment, je me suis crue plongée dans l’un de mes propres romans. Une situation sans précédent, subite, renversante, qui nous place face à nous-mêmes, en tant qu’individu comme en tant que parcelle d’une société à la suprématie remise en question. Un basculement brutal dans une autre dimension, où le monde rimait soudain avec silence, suspension, enfermement, menace. Plus de résidence autour d’un ruisseau et de lavoirs fleuris, plus de rencontres avec de jeunes plumes à l’imaginaire inexploité, plus d’aventure artistique et humaine. Quatre murs et l’isolement pour rédiger un texte, et la mise entre parenthèses de toutes les activités prévues. Tristesse et déception. Confinement On pourrait penser qu’un auteur en confinement n’est jamais plus qu’un auteur accompagné par le monde entier dans un mode de fonctionnement sommes toutes plutôt habituel, et que sa concentration et sa productivité ne pourront forcément s’en trouver que décuplées. Paradoxalement, comme j’ai pu le constater auprès de nombreux collègues, le confinement n’a pas constitué un tremplin ou une centrifugeuse d’inspiration pour tous les créatifs. Il a surtout joué le rôle de parenthèse, étrange et inattendue, les ayant plongés dans un questionnement personnel confinant à l’introspection. Je me suis moi-même presque arrêtée durant deux semaines, comme figée, en mode veille, sur pause… Et puis je me suis brusquement ébrouée, saisie d’un sursaut de survie, d’une irrépressible envie de m’extraire de cette chape de torpeur. Plutôt que d’attendre paresseusement le retour à la normale, j’ai repris la plume et le clavier, me suis replongée dans mes photos de Longué-Jumelles, et me suis laissé porter par les eaux du Lathan pour concevoir trois nouvelles. Trois textes courts, chacun à l’intention d’un public différent, chacun se déroulant dans les rues et autour du patrimoine de la commune. Inspire Je l’avoue, à certains moments, une immersion réelle dans le décor m’aurait beaucoup aidée. L’inspiration ne m’a pas fait défaut, bien au contraire, car les trois histoires me sont venues assez facilement. Mais j’avais un tel souci de réalisme que le fait de ne pouvoir compter que sur mes souvenirs ou des supports photographiques était parfois très frustrant. On aura beau vanter les mérites de la manne virtuelle, rien ne vaudra jamais le présentiel, le contact et les sensations, pour écrire avec justesse et éloquence. On me demande souvent comment me viennent les idées qui composent mes histoires. Mais je suis toujours bien en peine de répondre. L’inspiration reste un mystère à mes yeux. Elle me fait parfois penser à un vaste océan rempli de concepts, de visions, dans lequel mon cerveau part piocher sous mon impulsion, mais sans mon contrôle. C’est un peu comme plonger un filet dans l’eau et attendre les résultats de la pêche.

Nouvelle pour les enfants

Nouvelle pour enfants La nouvelle fantastique pour les enfants m’est venue assez vite. J’avais envie de parler écologie et aventure. Je pensais souvent à mon neveu de 5 ans, passionné de chevaliers, inquiet pour la nature, friand de contes et d’émotions fortes. Je suis partie du Lathan, et j’ai suivi le courant.

Nouvelle pour les ados

Nouvelle pour ados L’histoire pour adolescents m’a posé plus de problèmes, surtout d’ordre technique : je tenais à mettre en scène le moulin à eau, mais il m’a fallu m’y reprendre à plusieurs fois avant de concevoir un déroulement crédible et collant parfaitement avec la réalité des lieux. Ne disposant que de photos, je n’ai pas pu mettre mon idée à l’épreuve du concret pour être sûre qu’elle fonctionne. J’ai donc essayé de jongler entre les détails et l’évasif, entre le vrai et le fictionnel.

Nouvelle pour adultes

Nouvelle pour adultes Enfin, le texte sur la rumeur m’a donné la sensation de lancement de roman, lorsque vous vous sentez engagé sur la bonne voie, et que vos personnages vous prennent eux-mêmes par la main et vous entraînent dans leur histoire. Il est très rare que j’écrive à la première personne, mais je ne sais pour quelle raison, ce point de vue m’est venu naturellement, et m’a permis une totale immersion dans le passé, même si je n’y suis jamais allée. Le confinement aura donc constitué pour moi un moment hors du temps, de bien des façons. D’abord pétrifiant et stupéfiant, il a fini par se transformer en un sas temporel où le voyage est devenu intérieur.

MAI, UN NOUVEL ÉLAN

Printemps rimant avec déconfinement, le retour à la vie, même limité, s’est accompagné d’une réaction de PaQ’lalune et Christophe Chauvet pour rebondir, relancer, s’adapter et transformer la proposition initialement prévue. Les ateliers d’écriture pouvaient être reportés sans difficulté. En revanche, la Fête des lavoirs organisée pour le 12 juillet ayant été annulée, alors qu’elle constituait le point d’orgue de nos idées d’animations, une grande partie du concept devait être intégralement revu. Aguerris aux réunions virtuelles, nous avons donc mené une réflexion de groupe par écrans interposés, pour élaborer un nouveau projet. Les contraintes imposées par les mesures sanitaires, en lieu et place de nous paralyser, nous ont plutôt poussés à l’adaptation et à la créativité. Nous avons imaginé des balades sonores pour de petits groupes de dix personnes maximum, mixant enregistrements de paroles de lavandières, extraits de mes nouvelles, informations historiques, le tout porté et animé par un ou deux comédiens-guides. Balade des Lavoirs Pour faciliter le travail de construction du metteur en scène, nous sommes retournés à Longué-Jumelles, masqués, armés de téléphones portables espions, afin de filmer le parcours, ses stations, ses spots les plus parlants, et laisser l’atmosphère nous inspirer de nouvelles idées. Pour compléter cette folle épopée, première véritable sortie après deux mois d’isolement, aux saveurs de résurrection et bercée par des chants d’oiseaux nous rendant euphoriques, nous avons demandé à rencontrer une nouvelle fois les lavandières, afin d’enregistrer leurs témoignages, leurs confidences et, nous l’espérions, leur indéfectible entrain. Nous craignions de les voir décliner notre invitation par peur, par prudence, par lassitude également. Que nenni ! Nos vaillantes lavandières, trop heureuses de participer à la mise en valeur des lavoirs si chers à leurs cœurs, nous ont gratifiés de plus de deux heures d’interview et de chants. Joconde confinée Ce fut donc une rencontre très représentative de l’effet généré par le printemps et le déconfinement : le retour à la vie, au partage, aux retrouvailles… à notre dimension inaltérable et attendrissante d’animal social. C’est le cœur léger et revigoré que nous sommes repartis de Longué-Jumelles avec une certitude : la fête des lavoirs aurait lieu, sous une nouvelle forme, mais dans la joie et la bonne humeur. Le relai est à présent entre les mains du metteur en scène, et ma mission sélénite est placée entre parenthèses jusqu’à la reprise des ateliers d’écriture, peut-être en juin pour terminer l’année en beauté, ou en juillet pour répondre à l’idée de vacances apprenantes des pouvoirs publics, ou en septembre pour relancer la locomotive scolaire. Quelle que sera la période choisie, je me ferai une joie de transmettre à la jeune génération le goût de l’invention, de la conception, de la créativité. Je me ferai un plaisir de les pousser à explorer et exploiter leur potentiel, à utiliser le caractère ludique des histoires et de l’imaginaire pour apporter leur propre réflexion au monde qui les entoure. Car à mes yeux, l’écriture et la fiction constituent des outils essentiels à notre évolution. Comme le résumait si bien Carl Gustav Yung : « Une société sans rêves est une société sans avenir ».
Résidence d’auteure 2020/2021
L’année 2020 ayant été chamboulée par la crise sanitaire, nous avons fait le choix de poursuivre la collaboration avec Stéphanie Aten et de l’accueillir à nouveau sur la période 2020/2021. Une nouvelle résidence à Longué Jumelles a été organisée à partir de janvier 2021. La bourse d’écriture de cette 2e année prévoyait la création d’un mini-roman autour d’une fiction se déroulant au moulin de l’Hydronef. Ce texte sera présenté en septembre 2021 à l’occasion des 10 ans du Moulin, avec rencontre de l’auteure et dédicace. Cette résidence a aussi été l’occasion d’interventions en milieu scolaire .
Voici le Journal de Résidence 2021 de Stéphanie:
Ateliers d’écriture : le concept

Animer des ateliers d’écriture avec des enfants à partir du CE2 présente toujours deux défis : rendre l’activité ludique, tout en veillant à ce qu’elle soit, sinon formatrice, du moins porteuse. Porteuse de sens, de prise de conscience, de stimuli… sinon, à quoi bon venir bousculer un programme scolaire déjà bien chargé ?

Pour être franche, je ne m’attendais pas à ce que cela fonctionne aussi bien !

Le concept était le suivant : à partir d’une nouvelle pour enfants que j’avais écrite l’an passé lors de ma première résidence à Longué-Jumelles, les élèves devaient imaginer leur propre version de l’histoire, par petits groupes, en 3 ateliers d’une heure.

« La Voix dans le ruisseau » est un récit un peu fantastique, plein de mystère, qui aborde de façon subliminale les thématiques de l’écologie, du futur, du voyage dans le temps… Après avoir lu le début de la nouvelle, j’ai demandé aux enfants de répondre à plusieurs questions soulevées par le texte, visant à les guider dans la conception de la suite et encadrer leur travail. La « valise du temps » doit être repêchée dans un ruisseau, mais d’où vient-elle ? Qui l’a placée là et pourquoi ? Que contient-elle ? À quoi sert-elle ?…

Les enfants ont fait preuve d’une créativité et d’un enthousiasme réjouissants. Les idées ont fusé de toutes parts, mais ils ont toujours su trouver des compromis et travailler en équipe pour retenir les meilleures d’entre elles (certains ont même eu naturellement recours au vote). La cohérence a parfois cédé à l’appel de l’éparpillement, mais ils ont tout de même construit des histoires s’inscrivant dans leur propre logique…

Une écrivaine en herbe prénommée Romane a conçu un petit livret entre chaque atelier et me l’a montré avec fierté : « mon premier roman » ! Les classes de l’école du Sacré Cœur m’ont préparé une jolie surprise : la lecture à voix haute de leurs textes et la présentation de dessins d’illustration. De nombreux enfants étaient déçus que la session touche à sa fin et ont demandé à recommencer…

Bref : nous avons vécu de grands moments. Les voir prendre possession de l’exercice, s’amuser avec lui, chercher, coopérer, créer, m’a apporté bien plus de joie que je ne saurais l’exprimer, non seulement parce que j’aime transmettre les valeurs et les bienfaits de mon métier, mais parce que j’ai pu constater quel potentiel habite ces petits êtres tout neufs. Un potentiel que je les ai encouragés à exploiter le plus possible, car l’imaginaire est un super pouvoir qui ne sert pas seulement à raconter des histoires : il peut également les aider à trouver des solutions innovantes aux problèmes qui se poseront dans leur vie.

J’ai pris énormément de plaisir à mener ces ateliers, et je crois qu’eux aussi. Mission accomplie et soupir de nostalgie…

Écriture d’un mini-roman

C’est parti, c’est lancé : l’intrigue du Moulin de l’Hydronef a vu ses premiers mots jaillir sur mon écran, dans cet écrin bucolique mis à disposition des artistes intervenant à Longué-Jumelles. Y a plus terribles comme conditions de travail, non ?

Le texte n’en est encore qu’à ses balbutiements. J’ébauche, je réfléchis, je crache des idées, je les efface, je recommence… C’est une étape aussi galvanisante que stressante, à l’instar du vide. Tout vide est une promesse, car il peut être comblé. Tout vide est une angoisse, car il doit être comblé.

Énigme à caractère policier, avec une touche de fantastique, des ados pour héros, mais des adultes jouant un rôle tout aussi déterminant, le tout au service d’un objectif : la mise en valeur d’un patrimoine et de l’importance de sa préservation. Un beau défi, riche et complexe, devant s’étirer sur une quarantaine de pages, que je lèguerai à la ville de Longué-Jumelles avant de partir vers d’autres horizons…

La suite de l’odyssée de mon encrier arrivera prochainement . Livraison prévue pour le mois d’août.

Résidence théâtrale (ou spectacle vivant)

Résidence théâtrale 2019/2020

Dans le cadre de ce projet de territoire, PaQ’la Lune a invité des comédiens à participer au projet Paroles de lavoirs.

Fin 2019, une équipe s’est constituée autour de Lionel, Eva et Vincent qui ont créé la WWWR.

Ce duo s’est invité lors de plusieurs temps forts sur la commune , dont la nuit de la lecture en janvier 2020 et lors de balades artistiques entre juin et septembre 2020.

Dix balades artistiques tout public ont été proposées en juillet et le premier weekend de septembre 2020. De jolies promenades ponctuées de nombreuses lectures a amené le public a découvrir le patrimoine longuéén.
Résidence théâtrale 2020/2021
Pour cette 2è année, PaQ’la Lune a invité les comédien.ne.s et metteur en scène à poursuivre l’aventure du WWWR.
Spectacle de lancement de projet à l’école du Sacré Cœur à Longué Jumelles, janvier 2021
Dans le cadre des projets avec les écoles, une autre résidence a été organisée avec la création des Brigades de lecture de Mamy Lou (spectacle adapté aux plus jeunes).
Spectacle de lancement de projet à l’école Félix Landreau de Jumelles, janvier 2021
Six nouvelles balades ont été proposées en juillet 2021 De jolies promenades ponctuées de nombreuses lectures a amené le public a découvrir le patrimoine de Longué Jumelles

Fête des Lavoirs 2021

Sous un ciel humide et parfois en larmes, les comédiens ont à nouveau emmené le public longuéen à la découverte de la promenade des Lavoirs!

Juillet 2021 balades artistiques et ateliers au Moulin de l’Hydronef

PaQ’la Lune et la ville de Longué Jumelles proposent deux balades suivies d’ateliers pour découvrir autrement les lavoirs et le musée de l’hydronef : Lors de ces deux journées, samedi 25 juillet et dimanche 31 juillet, vous pourrez découvrir
  • Une balade artistique des lavoirs
  • Une visite du Moulin de l’Hydronef,
  • Un atelier d’écriture sur une fiction au Moulin, par un auteur de la région: Ronan Chevillard et une intervenante artistique Nathalie Lherbette.